Recherche d’emploi & Expatriation : Bruno Mars a la clé de votre succès

Dans sa chanson, « Just the Way you are », il chante : « Cause you’re amazing, Just the way you are ». Un million de fois oui !!! Vous êtes incroyable, juste telle que vous êtes ! C’est une de mes plus profondes convictions. Et il est indispensable que vous en preniez conscience.


#1- Il n’y a pas qu’une seule façon d’être

En prendre conscience, mais pas grâce à la méthode Coué. Non non, il ne s’agit pas de vous répéter « Je suis incroyable telle que je suis » 10 ou 100 fois par jour. Ou d’écouter Bruno Mars vous le chanter, pour vous en convaincre. Non, vous devez le réaliser par vous-même, à partir d’éléments factuels.

C’est ce travail que j’ai fait récemment avec une de mes clientes qui voyait le fait d’être introvertie comme un défaut. Grâce à une introspection guidée, elle a eu des prises de conscience sur qui elle était et surtout sur tout ce qu’elle pouvait apporter en assumant sa façon d’être.

Car il n’y a pas UNE SEULE BONNE FAÇON D’ÊTRE. Le plus important est de trouver l’environnement et les conditions dans lesquelles notre façon d’être est un atout.

Par exemple, si vous êtes quelqu’un de souvent impatient, qui est très tournée vers l’action et qui n’aime pas passer du temps à peaufiner les théories, ne cherchez pas à apprendre comment mieux ronger votre frein. Au contraire, travailler avec des personnes qui ont des idées originales et créatives et aidez-les à transformer leurs théories en résultats concrets. Votre talent naturel à leurs côtés va faire merveille. Vous allez naturellement être à votre meilleur, sans fournir de gros efforts.

A vous de développer ce talent pour être encore plus performante et décupler votre potentiel de réussite.

#2 – Mais la réalité est bien souvent différente…

En effet, on passe plus de temps à négliger nos atouts et nos forces qu’à les développer. A la place, on cherche à s’améliorer là où on n’est pas très bonne, naturellement. On est formatée à procéder ainsi car il y’a cette idée, très répandue que si, on se donne à fond alors on peut tout à fait y arriver. C’est vrai, on peut y arriver. Mais avec bien peu de plaisir et tellement moins bien que ceux dont c’est le talent naturel…

En fait, c’est comme si on voulait que nos qualités, ne se voient pas trop… La piège, dans cette logique, est l’épuisement et le manque de sens. On va s’épuiser à s’améliorer sur des choses qui ne correspondent pas naturellement à qui on est vraiment. Et finalement, on va passer à côté de notre niche d’excellence, celle qui réunit talents et plaisir.

#3 – Talents et plaisir, deux mots qui attirent autant qu’ils font peur.

Quand je parle de talents à mes clientes, je les vois souvent perplexes, voire incrédules. Je sais ce qu’elles se disent dans leur tête : « Ah mais moi des talents je n’en ai pas. C’est mon problème d’ailleurs, je suis juste une fille normale ».

Ça c’est souvent l’éducation française qui parle et un syndrome de l’imposteur bien installé, qui vous fait penser : « Mais qui je suis moi, pour dire que je suis bonne à faire ceci ou cela. C’est très prétentieux ».

Pas de jugement, je connais ce genre de discours mental… Mais en fait, on peut dire qu’on est bonne dans quelque chose, en toute humilité. Car tout le monde est talentueux dans un domaine spécifique. Donc assumer vos forces ne retire rien à personne.

Quand je parle de plaisir à mes clientes, là, leurs yeux pétillent. Mais en même temps, plus ça semble possible, plus ça semble suspect. Comme si ce n’était pas possible à propos d’un « vrai travail ». Je pense que ça vient souvent de notre héritage judéo-chrétien : il faut d’abord souffrir pour mériter des choses agréables.

#4 – Mais qu’est-ce-que cela à avoir avec votre recherche d’emploi pendant votre expatriation ?

Tout, Mesdames ! Quand vous cherchez du travail, pendant votre expatriation, vous êtes nombreuses à m’en parler : il faut « se vendre » ! Je ne suis pas fan de cette expression, mais c’est en effet, l’idée. Ça fait donc faire une différence dans vos résultats, si vous êtes capable de parler de vos qualités et forces plutôt que de laisser penser que vous êtes une professionnelle « moyenne », vous ne pensez pas ? Surtout qu’en étant étrangère, une entreprise peut avoir besoin de faire des démarches supplémentaires pour vous embaucher, donc donnez-leur envie de faire cet effort supplémentaire en leur parlant de vos talents !!  

Etes-vous un bon profil ou une bonne candidate ?

En lisant cette question, vous vous dites : »Hein ? Quoi ? Ce n’est pas la même chose ?? « 

Non, ce n’est pas du tout la même chose. Pourtant l’amalgame est souvent fait avec notamment ce genre de phrases : « Avec ton profil, tu n’auras pas de mal à trouver du travail ». Sous-entendu, avec ton profil, tu es une candidate de choix. 

En théorie, ça fait sens. Mais en pratique, les choses peuvent se passer très différemment.

Ne bougez pas, je vous explique tout ça – en vidéo ou en texte (sous la vidéo) si vous préférez lire  : 

 

Pour celles qui préfèrent lire : 

#1 : Qu’est ce qu’un bon profil ?

Il n’y a pas de définition standard mais généralement on qualifie de bon profil, une personne qui a un niveau académique élevé et/ou qui a connu une progression professionnelle avec des responsabilités/budgets gérés/personnes managées qui se sont étendues dans le temps. Il s’agit aussi de personnes qui ont travaillé dans une entreprise leader de son marché ou considéré comme prestigieuse.

Encore une fois, je vous donne surtout des contours pour nous donner une base commune 😉

 

#2 : Qu’est ce qu’une bonne candidate ?

La bonne candidate, c’est celle qui se fait recruter 😉 

C’est la candidate qui va savoir convaincre qu’elle est la bonne personne pour occuper le poste. Elle sait montrer ses atouts, elle sait inspirer confiance, elle sait donner envie de l’intégrer dans son équipe.

Et qu’elle est le meilleur profil ?

Pas nécessairement. Elle a été plus convaincante, mais cela ne signifie pas qu’elle est la plus qualifiée pour le poste.

Gardez cela en tête : « Ce ne sont pas les meilleurs profils qui sont recrutes mais les meilleurs candidats ».

Cette difference entre bon profil et bonne candidate, je la côtoie tous les jours avec mes clientes. Elles sont des bons profils mais pas des bonnes candidates.

Le but de l’accompagnement va être de les faire transitionner de bons profils à très bonne candidate.

 

# Le cercle vicieux de l’amalgame 

Ne pas percevoir la différence entre ces 2 notions peut avoir de sérieux effets négatifs sur votre chemin de succès. 

Le manque de réponses a vos candidatures, par exemple, peut vous amener a remettre en question la qualité de votre profil alors qu’en effet, c’est votre façon de vous « vendre » qui est en cause. 

Donc mon conseil d’auto-coaching pour vous : prenez du recul sur votre parcours professionnel et sur vos actions de recherche et posez-vous la question : Suis-je uniquement un bon profil ou suis-je aussi une bonne candidate ?

 

Recherche d’emploi en expatriation : Faut il accepter un poste « bof »

Quand j’ai cherché du travail pendant mon expatriation, ma priorité était de travailler. Tant pis si ce n’était pas le poste de mes rêves. Mais lorsqu’on m’a proposé un poste qui ne me faisait pas du tout envie – en terme de missions et de salaire- je me suis retrouvée dans un vrai dilemme : accepter ce poste en sachant que j’irai tous les jours à reculons ou bien dire « Merci mais non merci » parce qu’en fait j’aspirais à mieux.

 Je ne pense pas qu’il existe une réponse standard à cette question. Dans certains cas, accepter un poste « bof » est une bonne stratégie, parfois ça ne l’est pas.

Je vous partage 3 angles de réflexion pour si vous aussi, vous faites face à ce même questionnement :


#1 : Est-ce un poste « marchepied » ?

J’entends par là : en acceptant ce poste, pourrez-vous accéder à un poste qui vous fait envie, dans quelques mois ?

Si oui, il y’a là quelque chose d’intéressant à prendre en compte. Cette opportunité peut représenter un investissement nécessaire, qui va vous coûter d’abord avant de porter ses fruits. Il est alors important de définir dès la prise de poste, la stratégie qui va vous permettre de « jumper » sur l’opportunité que vous visez. Ne sous-estimez pas le poids du quotidien professionnel qui peut vous faire complètement perdre de vue votre objectif à moyen terme. Fixez-vous un plan de route pour vraiment faire de ce poste un marche-pied.

#2 : Qu’est-ce qui vous motive à accepter : Vos principes ? La peur de ne pas trouver autre chose ?

Si tel est le cas, je dis prudence ! Quand nos décisions sont prises sur la base de suivre un principe («on ne refuse pas un poste quand on ne travaille pas») d’un rejet (« j’en ai marre de chercher du travail ») ou sur la peur (« et si je ne retrouve pas de poste ou un poste qui soit mieux »), la décision manque de bases saines.

Du coup, comme le poste est « bof », et que vos motivations pour l’accepter n’étaient pas basées sur des critères positifs, cette opportunité va manquer totalement de sens.

Le risque est que, passées les premières semaines de satisfaction de ne plus avoir peur/ de ne plus subir la situation que vous fuyiez/de respecter vos principes,  la réalité du poste va se faire sentir sans filtre. Et la question : « Mais qu’est-ce que je fais là ? »  va surgir….

Ne pas vous sentir à votre place professionnellement peut vraiment entacher votre confiance. Vous évolue dans un contexte qui ne vous permet ni de déployer vos savoirs-faire ni d’aiguiser vos compétences. Vous êtes plutôt en sur-ajustement et vous vous retrouvez déconnectée de votre expertise.

#3 : Est-ce que ce poste résout une problématique économique urgente ?

J’entends par là : est-ce que vous avez immédiatement besoin de ce salaire pour vivre ? Si oui, accepter un poste même « bof » peut enlever un lot d’angoisses, et donner un vrai sens à ce poste.

Ou bien, ce salaire serait appréciable, mais la sécurité économique de votre famille n’est pas en danger, si vous ne gagnez pas immédiatement ce salaire ?

Si tel est votre cas et que vous vous dites que ce poste va surtout vous permettre d’avoir une expérience locale que vous pourrez facilement revendre, je dis… «Minute Papillon» !

Une expérience qui tire sa valeur que d’etre locale peut s’avérer difficile à «vendre». Le contraste avec le contenu de votre/vos expérience(s) précédente(s) peut embrouiller les recruteurs sur votre positionnement professionnel. Une expérience « bof »  locale, sera davantage perçue comme « bof » plutôt que locale.

De plus, retenez qu’après une journée de 8h au boulot/une semaine de 40 heures, on manque souvent de «fraîcheur ». Energie et motivation peuvent vous manquer pour envoyer des CV et lettres de motivation…

 

Maris expatriés : Comment aider votre femme à décrocher un poste

Vous vivez à l’étranger depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, avec votre femme et vos enfants ? Ça y’est vous avez pris vos marques au travail et les enfants se sont bien adaptés aussi à leur nouvelle école. C’est pour votre femme que le bilan est plus mitigé. Pas malheureuse, mais pas heureuse non plus dans cette nouvelle vie.Travailler lui manque. Enfin, plus exactement, son identité professionnelle et son indépendance financière. Car ce n’est pas nécessairement son précédent poste qu’elle voudrait retrouver. Mais quoi exactement, elle ne le sait pas non plus très clairement.

Elle a commencé à répondre à des annonces, mais pour l’instant, pas de résultats concrets. Vous aimeriez l’aider mais vous ne savez pas vraiment comment lui être utile.

Si je viens de décrire votre situation, bonne nouvelle ! Voici dans cet article, 4 conseils de la part de quelqu’un qui a été exactement dans la même situation que votre femme :


#1 : Reconnaissez les challenges qu’elle traverse

Je ne serai pas surprise si vous me disiez que votre femme a son moral en berne. Vous trouvez peut-être qu’elle dramatise un peu alors que sa situation n’est pas si mauvaise que cela. Vous aimeriez bien vous, avoir du temps pour vous ! Il y’a pire comme situation, non ? Vous n’avez pas tort mais je voudrais attirer votre attention sur le fait que votre femme vit une situation des plus déroutantes. Contrairement à vous et à vos enfants, il n’y avait ni entreprise ni école qui l’attendait à son arrivée. Déracinée mais sans « pot » dans lequel elle allait pouvoir elle aussi, poser ses racines, la voilà face à des questionnements qui peuvent la déstabiliser, d’une façon inédite, inattendue et  bien plus en profondeur qu’il n’y parait.

Cela ne signifie pas que vous et vos enfants ne vivez pas aussi des challenges pendant cette expatriation. Je sais qu’ils sont nombreux pour chacun de vous. Mais ceux de votre femme ont un caractère unique. Si vous comprenez ces spécificité et complexité, vous lui offrez une compréhension qu’elle ne trouvera probablement nul part ailleurs. Amis et famille en France ne seront pas en mesure de comprendre vraiment sa situation. Ils peuvent en plus la voir comme une privilégiée qui n’a vraiment aucune raison de se plaindre. Et ce n’est généralement pas avec ses nouveaux amis sur place que votre femme pourra s’ouvrir sur ses questionnements.

En reconnaissant ses challenges, ne craignez pas de la conforter dans ses « plaintes ». Au contraire vous allez lui permettre de se sentir comprise. C’est un vrai « game-changer » pour se remotiver et se dépasser face aux difficultés.

#2 : Bannissez les « T’as qu’à… »

Je crois que c’est le début de phrase que j’ai le plus entendu quand je cherchais du travail. Pas de la part de mon mari. Mais des nombreuses personnes à qui j’ai parlé de ma recherche. Et vous savez le conseil que j’ai le plus entendu : « T’as qu’à contacter les entreprises françaises ». Ah oui bonne idée je n’y avais pas du tout pensé… Voici un exemple typique des conseils que l’on reçoit quand on cherche du travail et qui n’aide pas vraiment. Le plus dur, c’est que la plupart des conseils « T’as qu’à… » viennent de personnes qui n’ont jamais vécu l’expérience de chercher du travail à l’étranger…

Mon conseil ? Si vous avez un « T’as qu’à » sur le bout de la langue, retenez-vous et transformez-le en « De quoi aurais-tu besoin ?  » ou « Comment puis-je t’aider? ». Ce sont deux questions que l’on ne nous pose jamais alors que justement on est dans une situation dans laquelle on ressent de la vulnérabilité.  Offrir de faire quelque chose sera bien plus utile et bénéfique qu’offrir des conseils évidents.  Et si elle vous répond « Rien du tout », ne le prenez pas mal. Lui poser la question était déjà un cadeau en soi.

#3 : Ouvrez lui votre réseau

Votre femme ne le sait peut-être pas, mais ce dont elle a énormément besoin pour décrocher un poste, c’est de développer son réseau professionnel. Et vous, vous en avez un, à portée de main, même si vous ne faites pas le même métier que votre femme.

Parce qu’au sein de votre entreprise, il y a peut-être quelqu’un qui exerce le métier qu’elle recherche. Vous pourriez donc simplement les mettre en contact. Votre rôle en jouant les intermédiaires n’est pas de chercher du travail pour votre femme. Il est d’être un connecteur entre elle et des personnes ressources qui pourraient lui partager avis, conseils, retour expérience pour l’aider à mieux cerner son marché et affiner son positionnement.

Le service RH de votre entreprise peut aussi lui être utile, avec des professionnels du recrutement qui peuvent regarder son CV et lui donner un feedback.

#4 : Accepter qu’elle ait besoin d’une aide professionnelle

Vous le savez peut-être, ce sont pas les meilleurs professionnels qui sont recrutés, ce sont les meilleurs candidats… Cela signifie que vous pouvez être le meilleur pour le job, si vous ne savez pas comment le montrer dans votre CV et l’expliquer en entretien, quelqu’un de moins bon techniquement pourra être recruté à votre place, car il aura su mieux faire la démonstration de ses atouts…

Savoir chercher efficacement du travail, ça s’apprend. C’est exactement le cœur de mon travail avec mes clientes qui vivent partout dans le monde et à qui j’apprends les techniques et leviers à activer pour décrocher un poste le plus rapidement et le plus facilement possible.

Un accompagnement, ça a un coût qui n’était peut être pas prévu à l’origine, mais voyez le plutôt comme un investissement qui sera totalement rentabilisé son premier ou deuxième mois de salaire…


  • Envie de savoir comment j’accompagne mes clientes, c’est par ICI
  • Vous voulez en savoir plus sur l’expérience des femmes expatriées que j’ai accompagnées, c’est par ICI
  • Vous souhaitez me contacter directement, écrivez-moi à: camille@expat-audacieuse.com

Recherche d’emploi & Expatriation : Bruno Mars a la clé de votre succès

Dans sa chanson, « Just the Way you are », il chante : « Cause you’re amazing, Just the way you are ». Un million de fois oui !!! Vous êtes incroyable, juste telle que vous êtes ! C’est une de mes plus profondes convictions. Et il est indispensable que vous en preniez conscience.


#1- Il n’y a pas qu’une seule façon d’être

En prendre conscience, mais pas grâce à la méthode Coué. Non non, il ne s’agit pas de vous répéter « Je suis incroyable telle que je suis » 10 ou 100 fois par jour. Ou d’écouter Bruno Mars vous le chanter, pour vous en convaincre. Non, vous devez le réaliser par vous-même, à partir d’éléments factuels.

C’est ce travail que j’ai fait récemment avec une de mes clientes qui voyait le fait d’être introvertie comme un défaut. Grâce à une introspection guidée, elle a eu des prises de conscience sur qui elle était et surtout sur tout ce qu’elle pouvait apporter en assumant sa façon d’être.

Car il n’y a pas UNE SEULE BONNE FAÇON D’ÊTRE. Le plus important est de trouver l’environnement et les conditions dans lesquelles notre façon d’être est un atout.

Par exemple, si vous êtes quelqu’un de souvent impatient, qui est très tournée vers l’action et qui n’aime pas passer du temps à peaufiner les théories, ne cherchez pas à apprendre comment mieux ronger votre frein. Au contraire, travailler avec des personnes qui ont des idées originales et créatives et aidez-les à transformer leurs théories en résultats concrets. Votre talent naturel à leurs côtés va faire merveille. Vous allez naturellement être à votre meilleur, sans fournir de gros efforts.

A vous de développer ce talent pour être encore plus performante et décupler votre potentiel de réussite.

#2 – Mais la réalité est bien souvent différente…

En effet, on passe plus de temps à négliger nos atouts et nos forces qu’à les développer. A la place, on cherche à s’améliorer là où on n’est pas très bonne, naturellement. On est formatée à procéder ainsi car il y’a cette idée, très répandue que si, on se donne à fond alors on peut tout à fait y arriver. C’est vrai, on peut y arriver. Mais avec bien peu de plaisir et tellement moins bien que ceux dont c’est le talent naturel…

En fait, c’est comme si on voulait que nos qualités, ne se voient pas trop… La piège, dans cette logique, est l’épuisement et le manque de sens. On va s’épuiser à s’améliorer sur des choses qui ne correspondent pas naturellement à qui on est vraiment. Et finalement, on va passer à côté de notre niche d’excellence, celle qui réunit talents et plaisir.

#3 – Talents et plaisir, deux mots qui attirent autant qu’ils font peur.

Quand je parle de talents à mes clientes, je les vois souvent perplexes, voire incrédules. Je sais ce qu’elles se disent dans leur tête : « Ah mais moi des talents je n’en ai pas. C’est mon problème d’ailleurs, je suis juste une fille normale ».

Ça c’est souvent l’éducation française qui parle et un syndrome de l’imposteur bien installé, qui vous fait penser : « Mais qui je suis moi, pour dire que je suis bonne à faire ceci ou cela. C’est très prétentieux ».

Pas de jugement, je connais ce genre de discours mental… Mais en fait, on peut dire qu’on est bonne dans quelque chose, en toute humilité. Car tout le monde est talentueux dans un domaine spécifique. Donc assumer vos forces ne retire rien à personne.

Quand je parle de plaisir à mes clientes, là, leurs yeux pétillent. Mais en même temps, plus ça semble possible, plus ça semble suspect. Comme si ce n’était pas possible à propos d’un « vrai travail ». Je pense que ça vient souvent de notre héritage judéo-chrétien : il faut d’abord souffrir pour mériter des choses agréables.

#4 – Mais qu’est-ce-que cela à avoir avec votre recherche d’emploi pendant votre expatriation ?

Tout, Mesdames ! Quand vous cherchez du travail, pendant votre expatriation, vous êtes nombreuses à m’en parler : il faut « se vendre » ! Je ne suis pas fan de cette expression, mais c’est en effet, l’idée. Ça fait donc faire une différence dans vos résultats, si vous êtes capable de parler de vos qualités et forces plutôt que de laisser penser que vous êtes une professionnelle « moyenne », vous ne pensez pas ?

Surtout qu’en étant étrangère, une entreprise peut avoir besoin de faire des démarches supplémentaires pour vous embaucher, donc donnez-leur envie de faire cet effort supplémentaire en leur parlant de vos talents !!


Vous avez du mal à identifier vos atouts  et à savoir ce qui fait de vous une candidate unique ? Parlons de comment je peux vous aider pendant une séance découverte gratuite (et sans engagement). 

Femmes Expatriées : Les secrets de celles qui ont décroché un poste qui leur plait

La récente enquête d’Expat Communication le dit clairement : il faut environ un an aux partenaires expatriés pour trouver un emploi pendant une expatriation. Et bien souvent, les postes décrochés ne correspondent pas vraiment aux attentes, que ce soit en matière de rémunération ou de challenge professionnel.

Cependant des solutions existent ! Je vous partage 4 clés qui vont faire une vraie différence.


1. Elles ont pensé que c’était possible

Ça peut sembler simpliste et pourtant ça fait une énorme différence. 80% de vos résultats dépendent de votre état d’esprit. Donc si quand vous cherchez du travail, vous ne cessez de vous dire que de toute façon, avec votre visa, votre niveau d’anglais/d’allemand…, la crise, les quotas… il va vous être impossible de trouver du travail, et bien, en effet c’est exactement ce qu’’il va se passer ! Ce genre de pensée sont comme des boulets que vous vous mettez au cerveau et qui vont donc énormément limiter votre prise d’initiatives, votre réceptivité à des informations utiles, votre capacité à explorer des pistes insolites.

Certaines ont fait le constat qu’elles ne savaient tout simplement pas comment s’y prendre, mais avaient la conviction que c’était possible d’y arriver. Elles ont alors fait le choix de se faire accompagner. Un exemple avec Stéphanie que j’ai accompagnée « J’étais à ce moment-là dans une impasse car je n’arrivais pas à savoir comment définir mon projet professionnel par rapport à ma vie de maman femme d’expat ! Grace à tes outils et ta méthodologie, j’ai pu définir mon positionnement facilement, comprendre mes pensées & croyances limitantes. Tu m’as redonnée confiance en moi pour mener à bien ma recherche d’emploi. Ma plus grande satisfaction a été de trouver un emploi durant mon coaching qui est celui dont je rêvais secrètement. »

2. Elles ont compris qu’elles devaient offrir ce qu’elles savaient et aimaient faire

Bien souvent, pour accélérer notre réussite, on n’hésite pas à dire qu’on est aussi « ouvertes à toutes les opportunités» ou «vraiment intéressée d’apprendre de nouvelles choses ». Ce sont deux postures tout à fait honorables mais pas du tout efficaces !

Pour convaincre facilement un recruteur/ un manager de vous faire confiance, vous devez lui donner des « garanties ». Vous devez lui parler de ce que vous pouvez lui apporter de façon certaine, car déjà  fait et éprouvé dans de précédentes expériences.

Finalement, posez-vous cette question : « Pourquoi ne pas proposer à un employeur ce que vous savez faire de mieux ?

3. Elles ont aligné CV et projet

Dans le prolongement du point ci-dessus, quand vous savez quels sont votre spécialités/vos atouts, votre CV n’a qu’un seul objectif : les montrer.

Un CV qui retient l’attention et qui provoque un coup de téléphone pour vous proposer un rendez-vous, c’est un CV qui envoie un et un seul message : je suis compétente sur cette {activité}.

Ça vous semble restrictif Vous avez peur de vous priver d’opportunités ? Mais c’est en fait, c’est tout le contraire ! C’est en étant la plus précise que vous ferez une différence aux yeux des recruteurs.

Imaginez que votre positionnement soit comme un plat : plus vous cuisinerez les saveurs que vous aimez,  plus vous allez donner faim à un plus grand nombre de personnes. Cherchez à satisfaire tout le monde, votre cuisine va s’affadir, tout comme l’appétit des personnes?

4. Confiantes en leur positionnement, elles ont facilement inspiré confiance

Avoir identifié vos atouts, vos spécialités, ce que vous savez bien faire, vont donner un vrai booster à vos candidatures.

Cette clarté et cette confiance en vous vont être contagieuses et vos interlocuteurs vont être rapidement et facilement conquis. Vous n’avez pas besoin de chercher à vous «vendre». Il vous suffit d’être vous, et laisser, en quelque sorte, la magie de votre enthousiasme opérer.

Je me souviens d’une cliente qui m’avait dit après un entretien d’embauche : « J’y suis allée sans être stressée, c’était la première fois que ça m’arrivait. Apres l’entretien, la coordinatrice RH m’a dit que j’avais parfaitement identifié ce qui dans mon parcours allait me permettre d’atteindre mon objectif. C’est quelque chose de rare et d’impressionnant ». Ma cliente a eu le poste et a commencé son poste deux semaines plus tard, ravie !


Si vous aussi vous voulez décrocher rapidement un poste pendant votre expatriation, prenez rendez-vous avec moi pour une séance découverte gratuite. Nous parlerons de vos objectifs professionnels et définirons votre plan d’action sur-mesure.


 

Expatriation & Reconversion : Ne jetez pas le bébé avec l’eau du bain

L’idée de se reconvertir quand on part vivre à l’étranger est assez fréquente. Je la lis souvent sur les groupes Facebook liés à l’expatriation. Personnellement, j’ai eu le même réflexe. Je me suis dit : “Nouveau pays, nouvelle vie, nouveau job ». Cette expatriation avait le goût d’une parfaite opportunité pour rebattre les cartes de ma vie professionnelle. Sauf que, par expérience, la réalité est un peu plus compliquée que cela et un projet de reconversion doit avoir des bases plus solides qu’une envie de faire autre chose…

Je vous partage 4 angles à considérer si vous pensez à une reconversion :


# 1 : On ne bâtit pas un projet sur un rejet

Combien de femmes m’ont dit/ m’ont questionné sur le sujet de la reconversion. Des dizaines !

A chaque fois, je leur demande ce qui les motive à envisager cette voie, et dans la grande majorité des cas, leur réponse est : “Plus envie de faire mon précèdent job » ou « Mon dernier poste ne s’est pas très bien terminé… ». A la question, « Qu’avez-vous envie de faire à la place ? », la réponse est souvent « Ben, je ne sais pas, c’est ça mon problème ».

Réflexe normal de ne pas vouloir revivre une situation douloureuse. Cependant, dans ce contexte-là, le projet de reconversion manque de bases saines. Un projet, quel qu’il soit, doit s’ancrer dans un désir, une envie, un enthousiasme. Pas un peur, pas un rejet, sous peine de manquer de sens sur la durée.

Donc avant de faire une croix sur votre carrière passée, travaillez à connaitre vos envies ! Est-ce que c’est facile à faire ? Nope ! Est-ce que ça vaut la peine ? Oh oui !!!!!

# 2 : Un nouveau diplôme n’est pas un accès VIP  vers une reconversion réussie

J’ai rencontré aussi des femmes qui avaient déjà entamé une reconversion et qui avaient alors passé un diplôme pour justement asseoir cette nouvelle orientation.

Cependant, elles n’arrivaient pas à vraiment concrétiser cette réorientation. Leur reconversion se limitait jusque-là au domaine académique. Même en France, où le poids des diplômes est important, un diplôme ne garantit pas un emploi. A l’étranger, son impact peut être encore moindre, car dans de nombreux pays, le diplôme compte moins que les expériences-terrain. Gardez en tête, que quand on est étrangère, il est encore plus primordial de mettre en avant les solutions concrètes que l’on peut apporter à un potentiel employeur.

Acquérir un diplôme dans un nouveau champ d’expertise ne va pas vous ouvrir automatiquement les portes de postes que vous n’avez jamais occupés. C’est la façon dont vous allez lier votre passé professionnel avec votre nouvelle orientation qui va vous aider à décrocher un poste. Votre diplôme tout seul, n’a bien souvent, pas ce pouvoir-là.

 

#3 : Pas besoin de faire un virage à 180 degrés pour retrouver du plaisir dans le travail

Dans le prolongement du point #2, identifier votre « touch », votre fil rouge du plaisir au travail peut vous amener à mettre l’accent sur des missions qui ont eu beaucoup de sens pour vous et abandonner celles qui, au contraire, vous pèsent.

On peut continuer d’utiliser des compétences testées et approuvées. Mais différemment, afin que notre quotidien professionnel nous ressemble plus. Qu’il nous permette surtout d’être facilement et naturellement à notre meilleur.

Ce n’est pas parce qu’une expérience professionnelle n’a pas été heureuse que pour autant tout est à jeter. Surtout pas ! Dites-vous que vos compétences, vos savoir-faire ont été mal utilisés, voire gaspillés. Vous n’avez pas besoin de recommencer à zéro. Juste cernez quel contexte/environnement vous conviennent mieux. Il suffit parfois d’ajustements minimes, pour se sentir alignée avec son travail et capitalisez sur vos acquis.

# 4 : Se reconvertir, échappatoire à la recherche d’emploi ?

J’ai rencontré aussi beaucoup de femmes qui voulaient se reconvertir dans l’entrepreneuriat. Bien souvent, elles se projetaient difficilement dans la situation de recherche d’emploi et utilisaient les expressions « chômeuse », « être au chômage » avec douleur.

Du coup, créer leur entreprise pendant leur expatriation apparaissait comme un bon Itinéraire bis.

Là encore, on est dans une stratégie d’évitement plus que développement.

Un projet entrepreneurial doit selon moi, être un moyen d’atteindre un objectif. Non pas être une fin en soi. Créer son entreprise pour créer son entreprise est dangereux parce que beaucoup de challenges sont présents sur cette route là aussi. Il est important d’être porté par une envie, une aspiration (une inspiration ?) qui permet de surmonter les obstacles et prendre du plaisir dans les efforts à fournir.

 

Recherche d’emploi à l’étranger, évitez de vous présenter comme « ouverte à toutes les opportunités »

« Je suis arrivée ici avec mon mari qui a été muté par son entreprise. Je cherche dans les RH, mais je suis ouverte à toutes les opportunités ». Voilà comment je me suis présentée pendant les premières semaines de ma recherche d’emploi à Singapour.

Nombre de proposition d’emploi reçue, 1.

Je n’ai pas donné suite. Ni à la proposition d’embauche, ni à la phrase d’accroche.

Par ma volonté de ne pas me montrer trop pointilleuse sur les opportunités professionnelles qui m’intéressaient, j’ai en fait surtout perdu mon temps avec cette expression « Ouverte à toutes les opportunités » parce que …


1. Ce n’était pas vrai

Quand j’ai été contactée par un cabinet de recrutement qui recherchait une Française pour travailler pour une compagnie d’assurance pour expatriés, j’ai été très enthousiaste et partante pour explorer cette opportunité hors de mon scope des Ressources Humaines mais qui valorisait le fait d’être Française (pour une fois !!).
Mais une fois rencontrée la dite société d’assurance, je n’ai pas du tout eu envie de passer 44 heures par semaine là-bas, à saisir les informations des formulaires d’inscription à l’assurance et avoir toute la journée, au téléphone, des assurés mécontents. Le tout payé au lance-pierres.

C’est après cette expérience que je me suis rendue compte (avouée ?) qu’en fait, je n’étais pas ouverte à toutes les opportunités. Je voulais avoir un poste stimulant et rémunéré au moins, un certain montant.
Est-ce que c’était me transformer en diva ? Pas du tout ! C’était admettre que j’avais des compétences qui avaient été testées et approuvées par des entreprises. Il était légitime que je veuille : les proposer, les réutiliser et les développer.
Pourquoi ne pas proposer ce que j’avais de mieux à offrir ?
En disant « NON » à cette opportunité, je suis restée disponible pour le poste qui me correspondait beaucoup plus (et dans lequel, cerise sur le gâteau, j’étais bien mieux payée que l’équivalent de mon salaire en France).

2. Je ne montrais pas ma valeur

Quand vous dites que vous êtes ouvertes à toutes les opportunités, c’est en fait ne rien dire à propos de vous. Vous élargissez tellement le spectre des possibilités, qu’il est impossible de savoir en quoi vous pouvez concrètement être utile à une entreprise. C’est comme vous positionnez en effectif et disiez : « Si vous avez besoin d’un +1 dans votre entreprise, pensez à moi ».

Pas très convaincant et donc pas du tout efficace!

3. Je ne permettais pas aux personnes de m’aider

Ne pas dire ce qu’on cherche précisément comme poste, c’est empêcher les personnes de concrètement réfléchir à comment elles pourraient vous aider, directement ou indirectement. C’est finalement comme ne rien mettre sur la table, donc les personnes repartent de votre échange avec…RIEN et donc ils ne peuvent RIEN faire pour vous…
Je sais que c’est une posture qui est difficile d’abandonner car on pense que si on devient trop précise, on va se priver d’opportunités. Mais c’est en fait tout le contraire. Vous arrêtez le tir groupé à l’aveugle pour viser UNE cible certes, mais que vous êtes bien plus sure de toucher….


 

Femmes expatriées : Votre Trousse de survie pour votre Soirée Networking

Vous savez que vous devez développer votre réseau, et que cela peut impliquer d’aller à de temps en temps à une soirée networking. Sauf que vous n’êtes pas une personne extravertie, qui a le « small talk » aisé. Je vous comprends parfaitement parce que je suis pareille. Je suis une personne qui aime les tête-à-tête. Alors ce genre événements m’ont toujours challengée. Mais c’est dans un tel événement que j’ai rencontré celle qui est devenue ma DRH…Alors je ne peux pas vous dire qu’ils ne valent pas l’effort.

Voici donc mes conseils pour naviguer avec aisances dans les eaux des soirées Networking.


#1 – Ciblez, ciblez, ciblez !!!

Abordons la question de façon pragmatique. Aller à une soirée networking implique souvent des frais de participation, des frais de transport ET du temps ET de l’énergie. Ce sont des ressources limitées donc il est indispensable d’être stratège.

Mon conseil : Regardez les intervenants s’il y’en a, regardez la liste des participants si elle est accessible et aller jeter un œil sur les profils LinkedIn correspondants. Vous prendrez ainsi la température sur l’audience et déterminerez si vous avez une chance de rencontrer des personnes dans votre domaine.

Je vous recommande de suivre particulièrement les événements organisés par la communauté française locale – institution, association, groupe LinkedIn… Ils sont plus faciles. Constituent un excellent entrainement et ont un potentiel plus important parce qu’il y a une première connexion naturelle.

#2 – Fixez-vous des objectifs quantitatifs

Avoir des objectifs va vous permettre de ne pas trop (sur-)réfléchir. Et surtout de ne pas écouter la petite voix dans votre tête qui vous répète que vous n’aimez pas ce genre de soirées.

Mon conseil : Fixez vous des objectifs à propos :

  • de votre heure d’arrivée,
  • de votre heure de départ,
  • du nombre de personnes avec lequel vous allez engager la conversation (idéalement ce seront des personnes que vous aurez ciblées à l’avance en analysant la liste des participants).

Une fois que vous avez atteint vos objectifs, vous partez ! L’idée est de ne pas vous dégoûter de ce genre d’exercice tout en ayant des objectifs réalisables mais qui vous challengent quand même un peu.

#3- Ne venez pas les mains vides

En allant à ce genre d’événements, vous cherchez à faire des rencontres intéressantes et repartir avec des idées et des contacts.

Mon conseil : Je vous recommande d’avoir avec vous :

  • des cartes de visites (si vous voulez plus de détails sur l’importance d’avoir une carte de visite, c’est ICI et ICI).
  • un petit carnet facile à ranger dans votre sac à main et un stylo pour noter les idées, les contacts que l’on vous partage. Je trouve ça mieux qu’utiliser votre téléphone car vous pouvez être distraite par des notifications qui viennent interférer dans votre prise d’information (c’est l’expérience qui parle !).

#4 – Préparez votre introduction

Les premiers instants d’une discussion avec une personne que l’on ne connait pas, sont toujours les plus difficiles. C’est le Networking dans sa partie la plus hardue ! Donc facilitez–vous ce moment en sachant vous présenter sans avoir à trop réfléchir à ce que vous voulez dire.

Mon conseil : Préparez votre présentation et entraînez-vous à la dire de manière fluide. Utilisez des mots de tous les jours pour que tout le monde puissent comprendre le poste que vous recherchez. (Pour vous aider à donner une bonne première impression, c’est ICI).

#5 – Portez une tenue professionnelle ET confortable

Cela peut sembler futile mais ça ne l’est pas du tout ! Les événements de networking, c’est se tenir debout avec du monde autour de vous, pendant 1 à 2 heures et donner une bonne image de vous.

Mon conseil : Portez une tenue dans laquelle vous vous sentez bien et en confiance. Avoir mal aux pieds va nuire à votre concentration, vous sentir serrée dans votre chemisier et/ou pantalon aussi, en plus du malaise que vous allez ressentir.

Il est plus important que vous soyez souriante tout au long de la soirée. Plutôt que grandie de 5 centimètres avec un visage crispé.

Alors prête à vous lancer ?

3 avantages à développer votre réseau pour trouver un emploi à l’étranger

3 avantages réseau emploi etrangerDévelopper son réseau ou le réseautage est une des choses qui marche le mieux pour trouver un emploi à l’étranger. Pourtant, c’est ce qui est le moins pratiqué par les personnes qui cherchent du travail et par les femmes particulièrement, qui ne manquent pas de me dire chaque mois : « je suis timide », « je n’aime pas demander aux gens et puis je ne sais pas le faire », « je ne veux pas déranger »…

Vous vous reconnaissez dans ces déclarations ? Je vais être honnête, je me suis exactement dit la même chose. Quand j’ai entendu ce que signifier « développer son réseau », j’ai cru à une farce réservée aux nouveaux arrivants pour leur faire peur, c’est dire pour mon incompréhension face au sujet !! Donc si vous avez des freins, soyez rassurées,  je vous comprends parfaitement !

Cependant, comme mon intention est de vous aider à ne pas rester bloquée dans votre recherche, je vais vous partager 3 avantages concrets dont vous bénéficierez en développant votre réseau professionnel, dans votre nouveau lieu de vie.

Découvrez dans ces vidéos, comment…


  1. … vous allez contourner de nombreuses « barrières à l’entrée »


2.  … vous aurez des informations « en exclusivité »

 

3. … vous allez gagner du temps en capitalisant sur les expériences des personnes de votre réseau

 
Retenez que « développer son réseau » signifie vous faire connaitre en personne. Augmenter le nombre de ses contacts sur LinkedIn, par exemple, est bien mais ne peut pas être un fin en soi. Votre objectif est que vous créez une vraie connexion, dans la vie réelle, avec vos contacts.